Publié le 11 juin, 2024 par Sarah Nacass.

Œuvrant principalement dans l’accompagnement dans cette épreuve des addictions. Ce serait certainement le cadre parfait pour s’ouvrir une porte de sortie du cercle vicieux de l’alcoolisme.

Cette expression pourrait être nouvelle pour vous, mais pas de panique. Dans le cadre de la lutte contre les addictions, il est plutôt commun. D’ailleurs, dans votre démarche pour sortir du vice de l’alcoolisme, vous pourrez être amené à en intégrer un.

Il ne s’agit que des organisation comme les Alcooliques Anonymes. Ce sont des lieux visant l’accueil en résidence mixte, pour des personnes qui nourrissent le désir d’amorcer un processus de sortie d’une addiction. . Elle se présente ainsi comme le cadre parfait pour faire l’expérience de l’abstinence face à un vice.

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Et il faut dire que des vices il y en a une pléthore. Mais dans cet article, on s’intéressera au cas particulier de l’alcoolisme. D’ailleurs, passons tout de suite au rôle de cette structure dans la lutte contre l’alcoolisme.

Même s’il est question d’une structure qui ne garantit pas à 100 % l’abandon complet d’une addiction, le rôle d’une communauté thérapeutique reste déterminant pour accompagner les personnes addictives dans leur démarche. telle que la consultation en addictologie contre alcool.

Elle présente en outre la particularité d’être un environnement ou l’objectif est partagé.

S’offrir un temps d’abstinence dans ce cadre c’est amorcer un processus qui peut être plus ou moins long, et surtout plus ou moins efficace selon l’objectif à atteindre.

L’idée de partager un environnement avec des personnes qui traversent la même situation que nous peut-être une grande source de motivation.

Pourquoi ? Simplement parce qu’on y développe le sentiment d’être compris et pas jugé étant donné que l’objectif à atteindre est vraiment commun avant d’être personnel.

Pour un alcoolique, c’est le moyen de parler de son addiction sans avoir l’impression d’un regard accusateur.

De plus, objectivement c’est atteindre déjà un objectif à court voire à moyen terme : celui de ne pas toucher à une goutte d’alcool. Et c’est déjà un grand pas.

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Résider dans une communauté thérapeutique ne se limite pas à s’asseoir et compter les heures.

Ce n’est donc pas un hébergement support ou un accompagnement simple, son but étant d’inscrire ses résidents dans une démarche de changement soutenu par un engagement personnel.

Avec pour but de trouver un bon rapport avec le monde. L’alcoolisme étant une addiction assez complexe, l’utilité de cette communauté prend donc toute son importance.

Chaque communauté thérapeutique est particulière, mais elles visent toutes le même objectif. Ces structures sont fédérées par l’idée de l’importance donnée aux membres et à leurs interactions, et même la structuration du temps et des activités.

Et surtout dans la gestion émotionnelle des résidents et particulièrement des personnes alcooliques.