Comment soigner son addiction au CBD ?

C’est une plante, le chanvre (Cannabis Sativa), qui permet d’obtenir grâce à un procédé d’extraction le Cannabidiol, dénommé aussi CBD. Celui-ci peut également être fabriqué par synthèse. La plante contient différentes molécules appartenant à la classe des terpènes, les cannabinoïdes, en particulier des phytocannabinoïdes auxquels appartiennent le delta-9 THC et le CBD.

Le delta-9 THC a des effets psychoactifs, c’est pourquoi la plante Cannabis Sativa est classée comme stupéfiante. Sa vente et son usage sont interdits par la loi dans de nombreux pays dont la France. Le CBD n’a pas d’effet psychoactif et ne provoque pas de dépendance. Sa vente est légale. 

 

Il existe dans le corps un système endocannabinoïde régulateur de nombreuses fonctions (humeur, appétit, sommeil, etc.) susceptible d’interagir avec le CBD, mais n’entraînant pas une réelle dépendance au sens classique. Néanmoins, certaines personnes peuvent faire le choix de l’utiliser régulièrement, voire en continu, dans la mesure où elles y trouvent un soulagement à certaines manifestations symptomatiques comme la douleur et l’inflammation. 

Il est recommandé d’utiliser le CBD sous le contrôle d’un professionnel de santé lorsqu’il est destiné à gérer certaines conditions médicales. Par ailleurs, les caractéristiques des gammes de CBD que l’on trouve dans le commerce sont inconstantes. C’est pourquoi il est essentiel de choisir d’acheter des produits fiables dont la pureté et la qualité sont garanties.

 


Le CBD : qu’est-ce que c’est ? Quels effets ?

Contrairement au THC connu pour ses effets psychoactifs, le CBD ne produit pas d’effet dit « high », c’est-à-dire euphorisant. C’est la raison pour laquelle il suscite un intérêt particulier résultant de ses potentielles applications thérapeutiques tout en étant dénué d’effets secondaires psychoactifs.

Le CBD appartient à la famille des cannabinoïdes, substances chimiques naturellement présentes dans la plante Cannabis Sativa. Elles interagissent avec le système endocannabinoïde du corps humain. Ce dernier joue un rôle dans de nombreuses fonctions corporelles :  gestion de la douleur, humeur, appétit, mémoire.

Le CBD est commercialisé sous diverses formes (gélules, huiles, crèmes) et peut être utilisé dans des contextes médicaux ou de bien-être.

Des médicaments contenant du CBD ont été approuvés pour le traitement de formes sévères d’épilepsie chez les enfants (syndrome de Dravet et syndrome de Lennox-Gastaut). Le CBD est parfois utilisé pour gérer les douleurs chroniques, mais son efficacité dans ce contexte est encore sujette à caution et fait actuellement l’objet de recherches. Des études préliminaires suggèrent que le CBD pourrait aider à améliorer certains symptômes dépressifs et diminuer les troubles anxieux. Chez certains sujets, le CBD favorise une meilleure qualité de sommeil.

Le CBD est en général considéré comme un produit bien toléré et sûr, même si on observe parfois des effets secondaires chez certaines personnes. Il pourra s’agir de  fatigue, diarrhée, appétit perturbé, variations de poids.

L’interaction du CBD avec d’autres médicaments reste encore à étudier plus largement, car des effets secondaires non recensés pour le moment pourraient intervenir.  Aussi, consulter un professionnel de la santé avant de commencer tout traitement à base de CBD est indispensable, surtout pour les personnes prenant d’autres médicaments conjointement.

Les recherches sur le CBD se poursuivent afin d’explorer de nouvelles applications thérapeutiques et récolter des informations précises sur son efficacité et son innocuité.

 


Quelles sont les causes d’une addiction au CBD ?

Le CBD est généralement considéré comme non addictif. Il ne provoque ni euphorie,  ni dépendance physique. Dans ces conditions, il semble inapproprié de parler d’addiction au CBD, alors que l’on peut certifier l’addiction à des substances psychoactives comme l’alcool,  le tabac, et bien sûr le THC. Il est toutefois possible que certaines personnes puissent développer une forme de dépendance psychologique ou bien être enclines à un usage compulsif de produits à base de CBD. Cet effet est renforcé par une croyance forte de ces personnes dans l’action positive du CBD pour leur bien-être ou leur santé.

Même en l’absence d’addiction physique, certains facteurs vont contribuer à un usage inapproprié ou excessif du CBD.

Les croyances et attentes ont une influence sur la perception de l’efficacité du CBD.  Certains individus ressentent une amélioration subjective de leur état conforme à leur attente : c’est un effet placebo qui va les encourager à continuer la prise de CBD sans effet cliniquement prouvé. Des personnes souffrant de troubles chroniques divers (anxiété, problèmes de sommeil, douleurs…) recourent au CBD pour autogérer leurs symptômes et, le percevant comme efficace, vont continuer la consommation et développer ainsi une dépendance psychologique.

L’usage et les habitudes vont possiblement occasionner une dérive. Utiliser le CBD comme routine de relaxation et de bien-être devient une habitude ancrée à laquelle il sera difficile de renoncer. Par ailleurs, l’utilisateur va pouvoir être conduit à augmenter les doses pour bénéficier des effets désirés et atteindra alors un niveau excessif de consommation.

Le contexte social et environnemental exerce une influence croissante dans la mesure où l’usage du CBD est de plus en plus populaire. Sa qualification de produit non dangereux et naturel encourage certains individus à l’utiliser de plus en plus fréquemment.

Les techniques habiles de marketing rattachées à ce produit en ont fait un produit de plus en plus disponible auquel sont attribués de nombreux avantages et peuvent inciter certaines personnes à en faire un usage excessif.

Il existe une carence certaine au niveau de l’information des consommateurs et de la régulation du marché. La qualité des produits disponibles est variable, ainsi que leur dosage en CBD, ce qui peut entraîner une consommation inadéquate ou à doses incohérentes. Par ailleurs, la prise de CBD sans supervision médicale est légale, mais peut conduire à un usage inapproprié voire néfaste en cas d’utilisation pour gérer des conditions médicales particulières.

 


Addiction au CBD : signes et symptômes

Le CBD n’est pas considéré comme substance addictive au sens classique car il ne génère ni sensations d’euphorie ni dépendance physique. On ne retrouve pas les critères de l’addiction (augmentation de la tolérance, symptômes de sevrage, impossibilité d’arrêter malgré la volonté de le faire). Cependant, certains individus vont développer une dépendance psychologique ou un usage compulsif de ce produit.

Certains indicateurs peuvent suggérer une utilisation problématique ou compulsive du CBD.

Une préoccupation excessive se manifeste. La personne est constamment focalisée sur ses recherches pour se procurer du CBD et en consommer. Elle passe un temps excessif à parler, rechercher des informations, tenter d’obtenir des produits  à base de CBD.

On remarque une augmentation de l’usage par rapport à ce qui était initialement prévu. Il pourra s’agir soit de quantités de plus en plus importantes, soit sur une période plus longue, soit les deux. Pour se sentir bien et fonctionner normalement, la personne ressent le besoin de consommer régulièrement.

La vie quotidienne est impactée. Le sujet persiste à continuer la prise de CBD, même conscient de l’incidence négative sur sa vie personnelle, sociale, professionnelle. Elle néglige ou même abandonne des activités importantes tant sa vie de tous les jours est axée et remplie par son produit.

Une difficulté à réduire ou à contrôler l’usage du CBD va apparaître, marquée par des tentatives sans succès pour contrôler la consommation. Le sujet ressent une envie de consommer de plus en plus forte, le désir d’usage devient compulsif.

L’individu persiste à utiliser le CBD malgré des problèmes physiques ou psychologiques potentiellement exacerbés par son usage. Il dénie ou minimise les inquiétudes des autres sur sa consommation.

Ces indicateurs peuvent, outre une “addiction” à la consommation de CBD, signer d’autres compulsions ou troubles psychiques. Il est recommandé de consulter un professionnel de santé dans un tel contexte afin de faire la part des choses entre les différentes sources de troubles.

« Gelsemium 9ch » est également capable de restaurer la parole, d’améliorer le processus de pensée. Le médicament agit particulièrement efficacement pour les maladies incurables, qui s’accompagnent d’une sensation de peur avec essoufflement, arrêt cardiaque, suffocation, accompagnée d’une perte de la voix lors d’une attaque. De plus, ce remède aidera à soulager les maux de dents, les insomnies prolongées, les douleurs musculaires et articulaires. Prescrit pour l’alcoolisme

 

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Qui consulter, traitements et soins possibles

Diverses ressources professionnelles sont possibles pour aborder une problématique de consommation de CBD.

Un médecin généraliste peut faire une première évaluation. Il doit s’assurer qu’il n’y a pas de contre-indication à arrêter le CBD et surveiller l’évolution de l’état de santé de la personne pendant le processus d’arrêt. Si nécessaire, il peut orienter son patient vers un spécialiste.

Un psychiatre va évaluer l’existence de troubles associés (anxiété, dépression…). Il peut prescrire une médication si nécessaire pour gérer les éventuels symptômes de sevrage ou les conditions médicales sous-jacentes.

Des psychologues offrent un soutien psychothérapeutique grâce aux TCC (thérapies comportementales et cognitives) qui permettent à la personne d’identifier, comprendre, puis modifier les comportements et les pensées associés à l’usage du CBD.  Ils peuvent également proposer des stratégies alternatives à la consommation de CBD pour la gestion du stress et des émotions.

Les addictologues en tant que spécialistes des troubles de l’addiction, sont qualifiés pour offrir une expertise spécifique relative à la gestion de l’usage problématique du CBD. En fonction de celle-ci, ils vont poser des plans de traitement adaptés, avec généralement un suivi régulier et un soutien continu.

Des Instituts spécialisés et centres de traitement de l’addiction, comme l’Institut ADIOS, sont une solution intéressante en raison de leur offre complète et efficace. Ce type de structure propose un cadre organisé et complet pour accompagner l’arrêt du CBD, avec une approche multidisciplinaire. Il s’agira de programmes résidentiels ou ambulatoires, incluant thérapies en solo ou de groupe, ateliers, activités de soutien pour favoriser un mode de vie équilibré sans dépendance.

Ces différentes ressources peuvent se compléter les unes les autres pour mettre en œuvre le processus d’arrêt de l’usage du CBD. L’accompagnement doit dépendre du niveau de sévérité du problème, des préférences de la personne, de son histoire personnelle,  de ses motivations, de ses objectifs pour retrouver une vie équilibrée et saine sur le long terme.


Quels sont les risques et les conséquences si je ne traite pas mon addiction au CBD ?

Un ensemble de risques et conséquences en rapport avec divers domaines de la vie d’une personne  peut découler de son utilisation problématique du CBD. Ils peuvent exister même si on est simplement dans le cadre d’un usage excessif ou compulsif, et non pas dans une dépendance physique traditionnelle.

La santé physique et mentale  est souvent impactée. L’usage intensif s’accompagne d’effets secondaires (fatigue, troubles digestifs) et peut masquer ou à l’inverse exacerber des troubles de l’humeur (anxiété, dépression).

Les implications négatives sociales et relationnelles sont fréquentes. Il s’installe un cycle délétère : les liens affectifs et sociaux de la personne sont perturbés par son utilisation problématique du CBD. Pour fuir, elle va consommer encore davantage pour gérer ses émotions négatives, et être conduite à un isolement croissant.

Les contextes professionnel et financier sont perturbés significativement. L’usage inapproprié de CBD peut amoindrir les performances au travail en liaison avec des problèmes de mémoire et de concentration et conduit éventuellement à une perte d’emploi. Des problèmes financiers peuvent apparaître en raison du budget conséquent nécessaire à l’achat des produits.

On peut constater une diminution des stratégies naturelles de gestion du stress et des émotions négatives au profit des effets artificiels du CBD. L’individu perd petit à petit sa capacité à faire face aux événements de la vie.


Quelles sont les maladies possibles?

L’usage inapproprié du CBD  conduit essentiellement à des effets secondaires et non à des maladies. Cependant, une consommation notablement excessive et prolongée peut provoquer ou exacerber certaines conditions de santé. 

On peut observer des effets sur la santé physique.  L’usage excessif de CBD peut entraîner des troubles digestifs (diarrhée, nausées, perturbations de l’appétit). Bien qu’utilisé souvent pour améliorer le sommeil,  le CBD pris en quantité excessive entraîne somnolence diurne et fatigue importantes. Des recherches suggèrent que le CBD à hautes doses pourrait présenter une toxicité hépatique. Ceci est très préoccupant concernant les personnes qui prennent le CBD en association avec des médicaments dont l’action pourrait être perturbée en raison d’une mauvaise métabolisation au niveau du foie.

Différents effets sur la santé mentale peuvent se rencontrer. Le CBD est utilisé pour ses effets potentiellement positifs sur l’anxiété, mais son usage excessif serait susceptible chez certains individus de provoquer à l’inverse des troubles de l’humeur ou des crises anxieuses. La dépendance psychologique, même si elle est différente du phénomène d’addiction résultant de l’usage de certains produits psychoactifs, peut provoquer chez l’individu une incapacité à gérer ses conditions de santé sans ses prises de CBD.

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Addiction au CBD : 8 gestes de prévention

Il est indispensable d’être informé des recommandations essentielles visant à une consommation raisonnable du CBD.

– Information et éducation supposent de se renseigner précisément sur le CBD (effets, avantages potentiels, risques) pour comprendre son fonctionnement et déterminer si son usage peut être bénéfique dans votre cas précis.

– Il est conseillé de consulter un professionnel de la santé avant de commencer à consommer du CBD. En effet, il importe d’être certain qu’il n’y a pas de contre-indication à son usage dans les conditions de santé qui sont les vôtres et que vos éventuels traitements médicamenteux associés sont compatibles.

– Dans tous les cas, choisissez vos produits à base de CBD dans des gammes offrant toutes garanties de haute qualité, certifiés par des organismes tiers, présentant un étiquetage clair et précis. Vous serez ainsi garantis de l’exactitude du dosage et de l’absence de contaminants.

– Faites un usage modéré et conscient du produit en débutant avec de faibles doses de CBD, puis en ajustant progressivement suivant la réponse de votre corps tant sur le plan physique que psychique. Soyez très attentif à l’ensemble de vos réactions.

– Établissez  dès le début des limites claires sur votre consommation, qu’il s’agisse de  la fréquence et de la quantité de CBD afin de prévenir la survenue d’une compulsion ou d’un usage excessif.

– Soyez vigilant à tout changement de votre comportement, votre humeur ou votre équilibre physique qui serait susceptible d’indiquer un usage inapproprié du CBD. Une attention forte vis-à-vis des signes de dépendance psychologique est primordiale.

– Diversifiez vos stratégies de gestion du stress au lieu de compter uniquement sur le CBD pour vous sentir bien. Ce pourrait être du sport, de l’exercice physique, des loisirs enrichissants, de la relaxation, etc.

– Cherchez du soutien en parlant ouvertement de votre consommation de CBD, avec des personnes de votre entourage réceptives et empathiques, ou des professionnels. Ceci vous permettra, grâce à un dialogue ouvert, de favoriser un usage responsable du produit.

Alternatives à la prise de CBD

Les alternatives naturelles sont principalement le recours à des plantes médicinales et des huiles essentielles. Des propriétés apaisantes peuvent être trouvées dans l’usage de certaines plantes comme la valériane, la camomille et la passiflore. Leur emploi est recommandé pour la gestion de l’anxiété et l’amélioration qualitative du sommeil. L’aromathérapie propose une diffusion d’huiles essentielles de lavande, de bergamote ou de bois de santal qui crée une atmosphère de sérénité et de bien-être propice à la relaxation.

Des techniques comportementales offrent diverses approches pour la gestion du stress et de l’anxiété. Les TCC (techniques comportementales et cognitives) s’avèrent très efficaces pour gérer l’anxiété et le sommeil. La TCC travaille sur la modification des schémas de pensée négatifs, permettant ainsi une gestion plus saine des émotions. La méditation de pleine conscience, le yoga, permettent un centrage de l’esprit qui aide à réduire l’anxiété et les ruminations tout en relaxant le corps. L’exercice physique, ne serait-ce que la marche, réduit le niveau de stress et améliore la qualité du sommeil. L’intégration au quotidien de techniques de relaxation musculaire, de respiration, et la pratique de la cohérence cardiaque sont une alternative naturelle reconnue à toute prise de produits tels que le CBD. L’ensemble de ces pratiques sont bénéfiques pour la santé mentale et améliorent le sentiment de bien-être, tout en favorisant une vie équilibrée et enrichissante.

Un mode de vie adapté peut jouer un rôle clé pour gérer son stress, son anxiété et bénéficier d’un sommeil réparateur. Avoir une alimentation saine et équilibrée, préparer son sommeil avec des rituels et des horaires aussi constants que possible vont pouvoir contribuer à un meilleur état physique et émotionnel, composante essentielle de la sensation de bien-être.

– Établissez  dès le début des limites claires sur votre consommation, qu’il s’agisse de  la fréquence et de la quantité de CBD afin de prévenir la survenue d’une compulsion ou d’un usage excessif.

– Soyez vigilant à tout changement de votre comportement, votre humeur ou votre équilibre physique qui serait susceptible d’indiquer un usage inapproprié du CBD. Une attention forte vis-à-vis des signes de dépendance psychologique est primordiale.

– Diversifiez vos stratégies de gestion du stress au lieu de compter uniquement sur le CBD pour vous sentir bien. Ce pourrait être du sport, de l’exercice physique, des loisirs enrichissants, de la relaxation, etc.

– Cherchez du soutien en parlant ouvertement de votre consommation de CBD, avec des personnes de votre entourage réceptives et empathiques, ou des professionnels. Ceci vous permettra, grâce à un dialogue ouvert, de favoriser un usage responsable du produit.


Pour conclure

L’utilisation du CBD suscite un intérêt croissant, notamment pour ses propriétés anxiolytiques, sans dépendance physique. Les études relatives à son emploi ont cependant permis, avec le recul, de mettre en évidence des formes de dépendance psychologique chez certaines personnes, ainsi que de possibles dérives dans son utilisation.

 

La prévention, l’éducation, et l’information pour un usage mesuré et responsable du CBD sont essentiels. Consulter un professionnel de santé est recommandé, surtout pour les personnes prenant conjointement d’autres traitements médicamenteux. L’adoption d’un mode de vie sain et la pratique d’une gestion alternative du stress peut diminuer le recours à la consommation de CBD, voire le rendre superflu.


FAQ

Quelle est la différence entre le CBD et la marijuana ?

Le CBD est apprécié pour ses effets thérapeutiques sans induction d’état euphorique, contrairement à la marijuana qui, du fait de sa richesse en Tetra Hydro Cannabidiol, est connue pour ses effets psychoactifs.  Le CBD est légalement accessible dans de nombreux endroits librement sous des formes contenant  moins de 0,3% de THC.  La marijuana est soumise à des restrictions légales. Suivant les pays, elle pourra  être totalement interdite, ou bien être autorisée pour des  usages variables, médicaux, et parfois récréatifs.

Comment le CBD se consomme-t-il ?

Les huiles et teintures permettent une utilisation par la voie sublinguale procurant une absorption rapide et un dosage précis. Sous forme de produit comestible, de capsules, de gélules, l’effet est plus prolongé, mais plus lent à se manifester. Le vapotage assure une action rapide, mais présentant une incidence pulmonaire.

Pour ce qui est des applications topiques, les  crèmes et les lotions sont utilisées pour des douleurs localisées. Les patchs transdermiques fournissent un effet durable. Les conseils d’un professionnel de santé, ainsi qu’un usage progressif avec de petites doses initiales et une augmentation par étapes, constituent une bonne base pour une consommation responsable et bénéfique du CBD.

La damiana est-elle une alternative au CBD ?

Ces deux substances offrent une action similaire uniquement pour une partie de leurs propriétés (relaxante, anxiolytique), mais ne sont pas interchangeables pour la totalité de leurs effets ou conditions de santé. Le CBD tire ses effets de son action sur le système endocannabinoïde du corps qui gère diverses fonctions (douleurs, inflammation, humeur, sommeil). Il est utilisé pour ses propriétés anxiolytiques, anti-douleurs, anti-inflammatoires et son action sur l’humeur et le sommeil. La damiana contient un certain nombre de composés qui contribuent à des effets relaxants et aphrodisiaques.

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