Mettez un terme à votre dépendance à la cocaïne !

Présentation du Centre Anti Addiction : Institut ADIOS
L’institut ADIOS est spécialisé dans le traitement des addictions de toutes natures. La cocaïne fait partie des addictions communes auxquelles nous sommes régulièrement confrontés.
Lorsque nous sommes sollicités pour un accompagnement pour arrêter la cocaïne, notre préoccupation majeure consiste à évaluer la motivation du demandeur.
S’il a été poussé par son entourage, mais qu’il agit contre sa volonté personnelle, peut-être n’est-ce pas le bon moment pour intervenir.
Toutefois, s’il y a urgence à traiter la dépendance à la cocaïne avant que des pièges plus graves ne se referment, nous sommes disposés à engager un travail préliminaire pour stimuler votre motivation.
Comment fonctionne l’addiction à la cocaïne ?
Le plus souvent, la cocaïne est utilisée comme stimulant. Que de cadres, d’administrateurs de société, de commerciaux, de serveurs et autres personnel soumis à la pression d’une clientèle et/ou d’une direction exigeante(s) s’y adonnent !
La cocaïne leur permet de faire face aux pressions de plus en plus fortes axquelles ils sont soumis.
Tôt ou tard, le problème qui finit par se poser, c’est qu’au fur et à mesure que la pression s’accentue, il faut augmenter les doses nécessaires pour maintenir les effets ressentis initialement.
Le problème ne tarde pas à engendrer des conséquences connexes. Plus la prise de cocaïne est régulière, moins le « pic » de bien-être artificiel est difficile à atteindre. Alors, le consommateur n’a pas d’autre choix que de tenter de « monter plus haut » pour retrouver un pic de satisfaction.
Comme chacun sait, plus on s’élève plus la chute est vertigineuse. Et les « redescentes » après que la cocaïne cesse de faire de l’effet deviennent de plus en plus chaotiques. Pour en limiter les effets dévastateurs, le consommateur fait appelle à des amortisseurs qu’il va trouver dans une consommation de cannabis et d’alcool à des doses de plus en plus élevées. C’est une manière d’amoindrir l’effet déprimant qui résulte du retour à la normale après une prise de cocaïne.
Aux dires de consommateurs réguliers de cocaïne, cette augmentation des consommations connexes tient au fait que la rémanence des effets de la drogue masque les effets du cannabis et de l’alcool. Quelqu’un peut en venir à boire des alcools forts sans avoir le sentiment d’être ivre alors que son alcoolémie explose. Il n’est donc pas rare de devoir traiter en plus de l’addiction à la cocaïne, des addictions au cannabis et à l’alcool.
Pourquoi est-il difficile de s’en débarrasser ?
Celui qui en vient à prendre de la cocaïne fait face à des pressions de moins en moins supportables. Partant du principe qu’il ne peut se soustraire à ces pressions, il trouve un palliatif qui à la base est d’apparence inoffensive.
Les bénéfices escomptés étant rapidement au rendez-vous, désinhibition, stimulation maximum, entrain surmultiplié, absence de fatigue, il paraît difficile de devoir s’en passer.
Une fois que les doses augmentent, 1 gramme par jour, puis 2, puis plusieurs jours d’affilée, le cercle vicieux se met en place et en sortir devient un véritable défi.
Par ailleurs, la situation d’inconfort qui est souvent à l’origine de la première prise de cocaïne peut être due à un malaise plus profond que les pressions apparentes auxquelles la personne est confrontée.
Il peut s’agir de traumatisme de l’enfance ou de troubles de l’attachement accumulés au fil du temps. La cocaïne permet « d’oublier » les signaux négatifs générés par ces zones d’ombre en souffrance dans l’individu. Arrêter la cocaïne suppose de devoir y faire face à nouveau, ce que tout le monde n’est pas toujours en mesure de faire.
Se débarrasser de la cocaïne avec l’hypnose et d’autres thérapies brèves
Plus la consommation de cocaïne sera devenue addictive, plus une assistance apparaît comme indispensable pour mettre un terme à cette spirale infernale sans s’en trouver très mal.
Les praticiens ADIOS se chargeront d’une prise en charge totale de la personne en souffrance. Grâce aux multiples techniques dont ils disposent dans leur arsenal de thérapies brèves, ils agiront directement sur les émotions impliquées.
Ils ne se contenteront pas d’induire le message visant à dire qu’il faut arrêter la cocaïne par le biais d’une séance d’hypnose. Ils iront beaucoup plus loin pour aider la personne à régler ses conflits intérieurs dus à des traumatismes et des troubles de l’attachement.
Le fond étant pris en compte, il est plus facile pour celui qui se libère de son addiction de faire face à ses réalités quotidiennes et d’y mettre bon ordre sans s’engager dans une fuite en avant dont il est très facile de prédire l’issue si rien n’est entrepris pour y mettre un terme.
Témoignage
La cocaïne c’est du passé »
Après 8 séances Adrien est libéré de ses addictions.
Adrien