La cure de désintoxication contre l’alcool de A à Z

La cure de désintoxication est un programme médical ou pseudo-médical, établi par des experts, pour permettre à une personne sujette à une dépendance de revenir à un rapport acceptable, par rapport à la substance de sa dépendance.
Les méthodes de désintoxication sont diverses, surtout en ce qui concerne l’alcool. Cependant, comme avec toutes aide contre l’alcool notamment les cures de désintoxication, le procédé doit être volontaire et non obligatoire. Comment avoir la motivation ?
Qu’est-ce qu’une cure de désintoxication contre l’alcoolisme ?
La cure de désintoxication contre l’alcool est un procédé qui une fois à terme, permettra au dépendant de se sevrer; cependant le sevrage n’est généralement pas durable! C’est pourquoi, il est préférable d’entamer ensuite un vrai de travail de fond avec des spécialistes ADIOS.
La cure de désintoxication en résidentiel est un préalable lorsque l’addiction constatée est trop importante pour démarrer par un vrai travail de fond. La cure s’effectue généralement dans des centres spécialisés ou avec un personnel spécialiste du domaine.
Elle consiste généralement à l’administration de médicament et est quelquefois accompagnée de séances de psychothérapie., mais la plupart du temps, ce n’est pas suffisant pour un sevrage durable. Rien ne vaut le travail de fond avec l’inconscient qui pourra être effectué avec ADIOS.

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Prendre RdvComment se passe une cure de désintoxication à l’alcool ?
Le déroulement d’une cure désintoxication alcoolique se passe par quelque étapes parmi eux :
- La prise de conscience
La première étape de la cure de désintoxication consiste à prendre conscience de sa dépendance. C’est bien pour cela que l’admission à une cure de désintoxication se fait en général sur la base du volontariat.
Il faut donc que le patient prenne conscience de son statut de dépendant et manifeste son désir de sortir de cette situation.
- La prise en charge
Le patient peut être admis à l’hôpital ou pris en charge à domicile par un praticien confirmé. Ceci étant, le traitement est souvent composé d’un rigoureux mélange de produits médicamenteux et d’un suivi psychologique qui n’est certainement pas suffisant si on veut s’en sortir réellement car les rechutes sont nombreuses si on s’arrête à la cure!
Différentes manière de traiter
- Médecine traditionnelle alternative: communément appelée médecines douces, ce sont pour la plupart des méthodes médicales qui ne font intervenir que des techniques alternatives par le biais de l’inconscient (exemple de la Méthode ADIOS) ou des produits naturels complémentaires qui aideront à gérer le stress et l’addiction. Ce n’est que par ce véritable travail de fond par le biais de l’inconscient que l’on se libère réellement et définitivement de l’addiction.
- Du sport : il n’est pas non plus rare de voir associer à ce type de travail des activités physiques. Elles permettent un meilleur rétablissement et un certain soulagement d’un point de vue psychologique simplement parce que le cerveau va libérer des endorphines, ce qui va libérer l’esprit du stress et de l’anxiété et augmenter la sérotonine, l’hormone du bien-être et de la bonne humeur, phénomène important en période de sevrage.
- Le sevrage résidentiel (à l’hôpital)

- Le sevrage ambulatoire (à la maison)
Les centres de désintoxication permettent une isolation qui le fera évoluer dans un climat de sérénité propice à un rétablissement rapide.
Aussi il n’aura pas à subir une confrontation avec l’alcool, donc pas de risque de rechute durant son internement.
Cependant, lorsqu’il s’agit d’un suivi à domicile, le patient a tout de même un peu plus de flexibilité en ce qui concerne ses déplacements. Il peut toujours se rendre à son lieu de travail et peut toujours compter sur la présence de sa famille, un atout durant cette période compliquée.
Loin d’être un mode de traitement moins sérieux que l’internement, le sevrage ambulatoire permet de suivre le patient dans chaque activité journalière, d’évaluer sa force de résistance mentale, et de lui apprendre à être confronté à l’alcool tous les jours de sa vie sans pour autant avoir à céder à la tentation d’en user et d’en abuser.
Ce mode de traitement est cependant réservé aux personnes dont la dépendance est plus faible.
Le praticien avant de conseiller un mode de traitement se doit donc de tester le niveau de dépendance de son patient. Il ne s’agit d’une manière de s’assurer de l’efficacité du traitement administré au patient.
Combien de temps dure une cure de désintoxication pour l’alcool ?
La durée d’une cure de désintoxication contre l’alcool est plutôt variable, en fonction de la gravité de la situation. Elle oscille généralement entre deux et quatre semaines, alors que le patient sera soumis à à un traitement médical et parfois psychologique.
malheureusement, il y a très souvent et même la plupart du temps des rechutes dans ce type d’accompagnement. C’est pourquoi, en cas de rechute et suivant les convenances, le patient pourra être admis pour une durée plus ou moins longue. Malgré la délicatesse de la situation, les médecins ont tendance à limiter les durées d’internement .
C’est pourquoi, il est recommandé dans ce cas, lorsque vous avez déjà rechuté plusieurs fois après une cure, de démarrer un vrai travail de fond avec ADIOS.
Le but ultime des cures de désintoxication, est de permettre aux personnes dépendantes de réintégrer convenablement la société sans être marginales ou déviantes.
Une durée d’internement plus longue que la norme pourrait donc avoir un effet pervers par rapport à l’effet produit. C’est pourquoi, on évite au maximum l’isolement prolongé des patients, pour leur permettre de garder une certaine présence sociale.
Où faire sa cure de désintoxication ?
Pour la question « ou faire une cure de désintoxication? », il existe plusieurs institutions qui proposent des cures de désintoxication pour plusieurs types de dépendances.
Certains sont spécialisés, d’autres pas. Certains de ces centres de cures sont de type public, d’autres privés. Il s’agit donc ici de faire son choix en fonction de l’offre et de son profil surtout budgétaire.
Les centres publics

Les centres de type public sont néanmoins réputés pour leur rigueur. Les personnels présents dans les centres publics sont généralement des salariés.
Ils sont tenus pour responsable de leurs moindres faits et gestes. Ce qui permet un climat de travail plus consciencieux.
Cependant, le standing des services ; du point de vue du confort est d’assez piètre qualité. Les centres de type privé offrent un confort digne d’un hôtel 5 Étoiles à leurs internes.
Les médecins sont pareils à des prestataires de services. En cas de pépin, c’est l’hôpital et son armée d’avocats qui auront la charge de l’affaire.
Ceci décharge parfois les médecins d’une grande part de responsabilité.
Public ou Privé, il serait préférable de commencer rapidement un vrai travail de fond sur l’origine de l’addiction et également sur le comportement mis en place avec une méthode reconnue comme ADIOS qui travaille avec l’inconscient, car lui seul peut vous aider à changer!

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Prendre Rdv- Les centres spécialisés alternatifs
Il existe d’autres méthodes alternatives qui fonctionnent très bien comme la méthode ADIOS. Certains choisissent les cures thermales en complément de la méthode ADIOS pour bénéficier de plus de détente pendant et après le sevrage. Pour la cure thermale, il est important de choisir en fonction de la spécialité des centres spécialisés .
Toujours est-il que l’institut ADIOS a acquis son excellente réputation (95% de réussite) grâce à des résultats incomparables partout en France et dans le monde francophone. Des milliers de personnes ayant abandonné leurs addictions que ce soit l’alcoolisme ou toute autre addiction grâce à sa méthode unique basée sur les techniques les plus puissantes actuellement.
La spécificité de la méthode ADIOS est que c’est un traitement holistique sans médicaments qui prend en compte l’ensemble de la personne, son environnement et qui s’intéresse autant à la cause de la dépendance qu’à la dépendance elle-même. C’est pourquoi elle obtient un taux de réussite inégalé à ce jour de 95%.
Les associations de soutien aux personnes en situation de dépendance peuvent également fournir une assistance particulière aux personnes désireuses, allant jusqu’à les aider dans leurs démarches d’admission dans les différents centres.

Combien coûte une cure de désintoxication ?
Comme cité plus haut, il existe plusieurs types de centre de désintoxication. Chacun applique donc une grille tarifaire correspondant à la qualité du service proposé et du contenu de leur programme.
Néanmoins, les institutions de type public ou para-public délivrent des services qui coûtent relativement moins chers par rapport aux centres de type privé.
Les Centres d’Assurance Maladie attribuent généralement une très grande partie du coût aux traitements liés à la dépendance : de l’admission à la réintégration sociale, en passant par le sevrage complet du patient ?
Par ailleurs, selon la juridiction, il n’est pas rare de rencontrer des centres subventionnés par l’État, qui offrent des services encore plus abordables.
En bref, les cures de désintoxication ne sont généralement pas aussi onéreuses qu’on le croit mais le résultat n’est généralement pas durable, il faut en avoir conscience dès le départ sauf si on démarre un vrai travail de fond par la suite avec un Praticien spécialisé ADIOS (par exemple).
Peut-on faire admettre quelqu’un dans une cure de désintoxication contre son gré ?
Il n’est pas rare d’observer un refus catégorique des dépendants en situation de dépendance de se faire suivre à travers une cure de désintoxication. Ils sont effectivement dans le déni et ne reconnaissent pas leur état pathologique .
Le processus d’admission en cure de désintoxication est un processus basé sur le volontariat, c’est à dire qu’on ne peut pas contredire une personne à insérer une cure de désintoxication.
Il existe tout de même une procédure d’admission par une tierce personne. Ce processus ne permet pas d’admettre le patient dans une cure de désintoxication, mais dans un hôpital psychiatrique.
Il lui sera alors administré un suivi psychologique. Il sera sevré et on tentera tant bien que mal de lui faire comprendre la situation dans laquelle il se trouve.
Cependant, cette solution n’exclut en rien les risques de rechute . Le patient étant dans le déni, il se peut qu’il replonge dans l’abus d’alcool ou de toute autre substance.
Peut-on retourner à une consommation « normale » d’alcool après une cure de désintoxication ?

À cette question, il n’y a pas de réponse toute faite. Tout dépend de chaque patient et du rapport particulier qu’il entretient avec l’alcool.
De toute évidence, il est préférable pour le patient qui est admis en cure de désintoxication de ne plus jamais consommer la substance en question que ce soit l’alcool ou une autre substance.
Il est important de ne pas aller en cure de désintoxication en ayant en tête de revenir à une consommation « normale » d’alcool.
Néanmoins, après la cure, tout se joue désormais sur la confiance en soi : c’est pourquoi, il est préférable à ce moment-là de se faire accompagner par un Praticien ADIOS qui vous permettra d’en finir définitivement avec l’addiction tout en douceur.
Malgré tout, il faut aussi laisser le temps faire son travail, car le corps a aussi besoin de s’habituer aux nouvelles données qu’il vient de recevoir pour rester dans des conditions optimales.

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Prendre RdvÀ quel niveau de dépendance doit-ont commencer les cures de désintoxication ?
Selon certains spécialistes, il faut que le patient « touche le fond » avant de commencer la cure de désintoxication. Dit comme cela, c’est un peu difficile à appréhender. « Toucher le fond » ici a plutôt un sens métaphorique.
Ce n’est pas tant laisser le patient à son sort, et perdre confiance en la vie. C’est plutôt le fait de le laisser prendre conscience de son état, savoir que s’il ne réagissait pas le plus tôt possible, il lui serait peut-être trop tard.
Arrivé à ce stade, il serait lui-même capable de demander à avoir accès aux soins. Cependant, plus tôt, la cure de désintoxication commence mieux c’est.
Il appartient donc à l’entourage du patient de l’aider en ce sens, en le faisant comprendre la gravité de la situation, sans toutefois adopter une attitude de brutalité, qui n’aura d’autres effets que de le décourager.
Comment puis-je savoir si je suis alcoolique ?
Qu’on entretienne une relation particulière avec l’alcool, ne signifie pas forcément qu’on soit alcoolique. Le niveau de dépendance doit être déterminé par le médecin traitant.
Il s’agit de faire des examens pour définir son état de dépendance à l’alcool. Il existe des personnes qui affectionnent particulièrement l’alcool, mais qui n’y sont pas dépendantes, ni physiquement, ni psychologiquement.
Par ailleurs, pour beaucoup, le terme « alcoolique » possède à tort une connotation péjorative. Cela constitue une source de déni des alcooliques.
Si on est conscient de sa dépendance, on se traite sans contrainte pour que tout rentre dans l’ordre, et une page sombre de notre vie se ferme!

Les questions les plus fréquentes
Comment l’institut ADIOS traduit-il une addiction à l’alcool ?
Sarah Nacass, fondatrice de l’institut ADIOS ainsi que de la méthode ADIOS, peut se targuer d’une longue carrière dans le domaine de la dépendance.
Son expérience lui permet d’aborder la dépendance à l’alcool avec un œil professionnel et avisé. Pour elle, plusieurs facteurs déterminent un alcoolisme.
Il faut s’inquiéter quand le comportement d’une personne devient incontrôlable par rapport à sa consommation d’alcool et ce n’est pas seulement la quantité qui compte.
En effet, quand l’envie de boire devient obsessionnelle, quand elle se traduit par des pulsions, des comportements à risque ou agressifs voire des absences, il faut tirer la sonnette d’alarme.
Car il y a une différence entre la consommation festive, et la consommation abusive, à laquelle on a recours pour combler un mal-être intérieur.
Les symptômes de sevrage sont également un bon indicateur de dépendance. Ils sont insidieux car ils prennent place progressivement dans le corps de la personne, contrairement aux symptômes développés avec des drogues plus dures.
Tremblements, anxiété, nausées, agitation, ils surviennent 6 à 48 heures après sevrage et disparaissent rapidement dans la semaine qui suit.
Comment est appréhendée la dépendance à l’alcool à l’institut ADIOS ?
L’institut ADIOS traite tout type de dépendance, mais la dépendance à l’alcool est la plus grosse demande de traitement.
Pour l’appréhender, Sarah Nacass passe par ce qu’elle appelle l’Activation De l’Inconscient Orienté vers la solution. C’est de cette formule que vient le sigle qui donne son nom à l’institut : ADIOS.
Cette pratique consiste à se concentrer sur les ressources et motivations du patient plutôt que sur sa problématique même si parfois, on revient à l’origine du problème. Cela concrétise son désir et son attente profonde : ainsi peut-il déterminer un objectif, un but avec désir ardent de s’en sortir!
La problématique constitue le point de départ du cheminement qui va vers la solution. Parfois, un retour vers le passé est nécessaire pour traiter l’origine de la problématique.
Mais le plus efficace reste tout de même l’orientation vers le futur pour une guérison réelle et profonde.

L’institut ADIOS accompagne-t-il ses clients pour les démarches vers les centres de cure ?
Au cas par cas, il est possible de bénéficier d’un accompagnement ADIOS en lien avec un médecin ou psychiatre si nécessaire.
De même, lorsqu’un patient est déjà suivi par un psychiatre ou un médecin en amont, l’Institut lui demande toujours — hors exceptions — de maintenir jce suivi usqu’à la fin du programme.
Si besoin est, l’institut est évidemment présent pour le patient qui veut être pris en charge par un centre de cure.